Me voici de retour en métropole après 2 mois de voyage d’étude en Amérique Latine : 3 semaines en Argentine, 2 semaines en Equateur et 2 semaines à Cuba #NuffieldFrance
Voici une liste à chaud de ce que je retiens de cette première partie d’étude sur l’agriculture urbaine et péri-urbaine :
- L’AU semble avoir cette possibilité de participer à inventer des solutions différentes du monde agricole conventionnel en impliquant des urbain.es, et en prenant en compte leurs envies et besoin. Presque tous les projets vus sont bio, agroécologique avec une envie de ne pas dégrader l’environnement, de multiplier la biodiversité présente, d’inclure un maximum de personnes différentes, etc. Tout cela avec une réalisation réaliste.
- L’AU pour fonctionner et avoir un impact sur la société semble avoir besoin d’un cadre et d’un appui des municipalités.
- J’ai rencontré beaucoup de femmes ! (Aucune stat, mais plus que dans le monde conventionnel)
- Face à des politiques qui ne correspondent pas aux attentes, j’ai croisé beaucoup de proposions de partir « du bas » pour faire des choses et faire de la politique et ne pas attendre que tout tombe « d’en haut ». S’auto-organiser
- L’AU est une porte d’entrée à beaucoup d’autres choses
- La sensibilisation des citoyens à l’agriculture, une remise en contact avec la nature
- Les politiques alimentaires de villes (#city regions foods systems)
- C’est fatiguant de changer souvent de pays ! Je pensais être plus présente sur les réseaux pour partager mon expérience mais non…
- Toutes les personnes que j’ai rencontrées ont été adorables et merci à elles !
- Pour finir un mot par pays : Argentine : Diversité, Equateur : Altitude, Cuba : Compliqué !!