L’agriculture urbaine va de la production de basilic dans sa cuisine à de l’agriculture périurbaine en maraichage en passant par des jardins partagés ou de la production sur des toits.
👩🌾 Les activités sont très souvent mixtes (production végétale et location de l’espace pour des évènements par exemple) et avec des visées variées : autoconsommation, vente, lien social, connexion à la terre, etc.
🐑 Le fil rouge entre toutes ces activités est la production végétale ou animale qui se réalise en ville ou en périphérie de ville avec un lien très fort à la ville. On peut penser à des maraichers périurbains, dans les interstices laissés en banlieue qui font du maraichage et vendent toute leur production en ville.
De nombreuses typologies des acteurs de l’agriculture urbaine ont été créés. Voici 5 grandes catégories de projets, telles que définies lors d’une conférence par l’AFAUP – Association Francaise d’agriculture Urbaine.
🥬 L’agriculture urbaine du particulier et de l’entreprise (kit pour jardiner chez soi par ex.)
🥒 Les jardins collectifs où les citoyens se retrouvent
🥦 Les microfermes urbaines – qui mixent jardin collectif et microformes spécialisées à activités diverses : ginguettes par ex.
🌾 Les fermes urbaines spécialisées (production, techniques hors-sol)
🐓 Les fermes périurbaines
Il serait plus juste de parles des agricultures urbaines au vu d’une telle diversité. J’apprécie pour ma part la définition d’agriculture de proximité : en proximité avec la ville, avec les urbains. C’est à Flore-Anais Brunet que je dois ce terme qui me l’a transmis lors d’un échange.
Merci à elle!
#agriculture #agricultureurbaine